Les acteurs de la nuit lancent un appel au président Macron

un article pour Toucher | publié le 20 septembre 2019

Après la mort d’une jeune homme par overdose d’ecstasy, les acteurs de la Nuit appellent à un « Grenelle » autour de la pratique de la fermeture administrative.

Un établissement de nuit doit-il être tenu pénalement responsable lorsque une personne décède dans les lieux ? En France, la réponse est oui. La mort d’un jeune homme par overdose d’ecstasy le 1er septembre après une soirée dans un club parisien (Dehors Brut, le nouveau lieu de Concrete) a donc sonné la fermeture des lieux pour un mois. Les organisateurs de soirées veulent tenter de faire changer la loi. Ils lancent une pétition appelant à un débat pour plus de prévention, et moins de répression. Voici leur lettre au président  ici !

Ce que nous dit ce drame c’est que la prévention et la réduction des risques doivent être de toute façon renforcées partout. D’après l’Office Français des Drogues et des Toxicomanies (OFDT), la teneur en MDMA des pilules d’ecstasy a très fortement augmenté ces dernières années[1].

 

[1] https://www.ofdt.fr/produits-et-addictions/de-z/ecstasy-et-amphetamine/

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