Les 5 disques favoris de Agnès Obel
Après le grand succès de Philarmonics, son premier album en 2010, puis de Aventine en 2013, tous deux composés en solitaire, la danoise Agnès Obel n’a plus à prouver son inestimable talent à transmettre une délicatesse brute. Une voix, un piano, quelques cordes pincées et elle emporte le public avec elle. Elle évoque avec nous les 5 disques qui ont changé sa vie …
Claude Debussy – rêverie + arabesque no 1 + Prélude à l’après-midi d’un faune
« La sensation d’expérimenter la vie intensément, même les choses les plus petites autour de vous, comme l’atmosphère de certains jours. »
portishead – Dummy
« La musique et la voix sont un voyage dans le temps instantané. »
Jan Johannsson – jazz på svenska
« Un conte très, très ancien sur les habitants des bois, raconté via le piano. »
Cocteau Twins – Treasure
« La voix d’Elizabeth Fraser… un autre monde, autour du son, des textures et des possibilités avec. »
Leonard Cohen – Songs of Leonard Cohen
« Ses paroles et les images qu’il crée sont si précises que je peux les sentir miennes. »
Pour terminer, on ré-écoute le délicat The Curse, l’un des titres du dernier album de Agnès Obel.
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